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Affichage des articles du septembre, 2013

Cycle

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Regard rasséréné et torve de l’épine dorsale rampante sortant du vase au galbe parfait la bouche en catogan pressant le lierre blême entouré de babiole de fleur virago soutachant l’espace l’inconscience de la folie vivement striée qui s'étrangle a la porte du paradis promis et le postillon, passe à petit feu de vie à trépas.  Abdoulaye Bilal Traoré

Amour de terre

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Amour de terre   Sublime amour de rêve l’amour d’émotion sentie fougueux amour de tendre l’amour choc de caresse de sueur froide en chœur. Sublime l’amour portant en miaule en maux et vœux l’amour qui  n’est pas fleur l’amour en chair enivrante l’amour de réalisation et fusion d’âmes. Abdoulaye Bilal Traoré

Cher pays, qui diffama la voix de Liberté?

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Cher pays, qui diffama la v oix de Liberté? Tout le monde veut la liberté tout le monde singe pour la liberté entre tous, le nœud de riches au stade céleste d’éternel soi disant parfait capturant sur la paume de la droite main d’ange de sauveur malintentionné le tictac de la liberté de l’autre. Il tient sa propre liberté de pensée libérale la plus céleste entre tous les célestes selon contre l'en bas lutteur pour la  liberté crue et vaniteuse, dure comme fer la même de rêve à la guise de l’avoir. Cher pays, le neolibéralisme n’est en aucun cas philosophie politique de croyant. Cher pays, c’est la république souveraine non le neolibéral souverain, le monarque et non plus n'importe quel Cheikh. Cher pays, répéter le stade-du-miroir est un avantage à l’âge adulte. Cher pays, la conscience en l’unité est le soi impossible sans l’autre naturellement. Abdoulaye Bilal Traoré

Folie d’amour en chute d’enfer

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Folie d’amour en chute d’enfer À dire de conte tarabiscoté elle a élue elle tourne sur le socle inlassablement et sa naissance de fleur donne le fruit en roulé-boulé. Destinée  aux gémonies  dans le blockhaus faux-velouté gavroche houspillée  couinant comme le merle craquetant qui passe au devant du tonnerre de fracas de la verrière. Tonnerre de cognement du cœur froid le front leurré senteur de harissa odeur de moisi coccyx coincé remue-ménage et trébuchage sur la pierre ronronnant  inlassablement  à base de cravache. Le bond à la souplesse de chat d’éclair d’acier fait trempette miracle et vocifère sa palabre au dire borborygme puis le silence de la crainte de soi devant l’heure et le devoir sans  pomme d’amour. Elle noya le libre sens dans: Qu’est-ce-que c’est triste! Abdoulaye Bilal Traoré

Et Il avala l’appât

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Et Il avala l’appât (En direct pour demain) Il l'avait senti et n’avait pipé mot à personne sauf à son repose coup Il consentait et faisait la sourde oreille aussi l’œil qui ne voulait pas voir Vouloir tout à tout prix quand le faux rêve devenait duperie à tout va Comme la l ueur semblant d’être vraie mais panée de chocolat leurrant.                                                                  Distance qui se faisait longue distance sueur qui s'épanchait et s’évaporait Entre palissades de béton dans une quelconque entreprise d’oraison funèbre Le court-long-trajet du corbillard avalant l’autoroute à la vraie va vite allons Le temps g l issait et la force se faisant bizarre advienne que pourra la mort. L’événement d’un jour la circonstance d’un moment dans un entourage quelconque Une date déterminante avec des  antécédents propres de part et d’autre , mode ici, Démodé par là-bas, primitif en son sein puis, une certaine queue s'en orgueillis

Femme entre douleur et pseudo-gaieté dans l’hexagone croisé

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Femme entre douleur et pseudo-gaieté dans l’hexagone croisé Femme émigrée, émigrés déçus par l’esprit de la réalité   du terrain, dans la lueur de la beauté, nuit de ses douleurs mais rayon le jour. Elle est l’instinct    du rêve devenu colère   de   la gardienne malaimée mère comme la mer puisque de son sein l’aliment providence. Femme émigrée dans l’obscurité ingénue ,   sahélienne abdomen de la diaspora   mémoire de l’antérieure bouche d’hyène à celle du loup. Comment peut-il avoir conversion totale quand survient le désir dans ce rêve   converti en blessante violence à effet brutal d’éclatement sur le dur? Femme émigrée, laboureuse assignée ou domestique veilleuse sur la table ambulante de son partenaire, presque bonne à tout   faire quand de sa lumière elle fait luire jusqu’où y avait rien   de clarté. Humble, elle se retrousse et rebrousse afin que ça ne se sache. Céy-kersa* ! Émigrée-créatrice-création-croyante-donnante de vie, femme du destin

En état d’affecté

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              En état d’affecté Désaliénation. Quel rêve! Désaliénation Du moi destructeur De la griffe de l’égo sorcier. Masse de larbinisés larbinisant. Il n e m’assassine pas i l me fa lcifie Il m’hypnotise et me manipu le À sa merci suis-je! Être conscient du media Ne sert à rien à  l'image propre Rien que du soufre puant Et du cyanure dans le sang De la dense asymétrie d’infos retouchées.    Abdoulaye Bilal Traoré. Ne m’assassines pas Hypnotises-moi À ta merci suis-je J’en suis conscient Ne me sert à rien Rien que du soufre puant Du cyanure dans mon sang.

Prenez, je reçois

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  Prenez, je  reçois (Théorie de l’approche première)         Calculs sur la route asphaltée! Du va-et-vient sur le dur  un instant  de passage  de profilés une quatre pattes arrivait à assez vive allure les vues s’entrevoyaient et se clignotèrent provoquant le réduit de la marche d'une part de l'autre à l’anxiété diluée les pas s'intensifièrent accueil et arrivée se fixèrent d es   yeux et furent la déduction  qu’à cent mètre de distance entre piéton et motorisé un danger de moteur attaquant à vingt cinq par heure permet de franchir le croisé de chemin avec quasi nonchalance  pour ensuite pouvoir cajolé sur le trottoir en vue le qui est noir dans le noir couvert roule dans du noir lève la main et s'épanche toujours à coup de sourire en attendant d’y voir clair           Abdoulaye Bilal Traoré        

Pour un oui pour un non le même châtiment!

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Dans le désert l’air est sec La nuit froide du Sahel de sel gem D’oasis verte d’eau ruisselante de terre et ciel Croisée des chemins de vente de héro et coca-raffinée. Qu’importe la démagogie-blasphème gagnants! La neuroscience au service du capital faucheur. Dans le désert, « Ya Sahara  » ! Le commerce n’est plus comme avant Marchander n’est plus unisson et maintenant Le coït de «faux-croyant » assimile quatre femmes Soumises de force par le pervers. C’est dure le silence du désert la solitude C’est terrible  Une charge de la conquête du faux mongoloïde     La ruée sur Tombouctou séculaire est le délice Du sexe dominant en cerveau pourrissant Dans l’aire du châtiment sur terre. Abdoulaye Bilal Traoré                                Photo: Hamada dhu dra

Regard de pôle au-delà de l’équateur (MADIBA)

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Regard de pôle au-delà de l’équateur (MADIBA) (Géométrie de point abstrait du réel) Le pasteur pasteur pasteur est le point Sur la ligne longitudinale méridienne du fuseau Gentil pasteur fait paître de jolies fleurs de la figure De l’Ile de Fer image de moulin qui tourne Et tourne d’en-haut du nord au-bas du sud Gaucher de l’occidental par le droit de l’oriental Le pasteur menant paître ses penchants penchés Pasteur de rêve qui dance et dance saute et sautille Sur la prairie d’instincts parfumés d’en-haut du sud Au-bas nord gaucher de l’orient droit de l’occident Madiba est un regard frontal du demi-cercle chaleur Vers l’autre point de la chute de son arc qui saute Et saute la barre de l’équation majeure de profil Et de dos à l’océan soleil qui passe pasteur qui dance L’imaginaire du Vrai Nord septentrional Nord-ouest ouest-sud sud-est est-nord Nord-est est-sud sud-ouest ouest-nord Sud-ouest ouest-nord-nord-est est-sud Sud-est est-nord nord-ouest ouest-sud.

Avant le jour, la nuit

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        La nuit avant le jour         Deux bandes distinctives          De multi-comptages addition-nages-soustractions         Comme une boule tournante de tout est somme          Rodant autour de la nuit le jour la nuit.         Belles sont les jonctions se dissipant en aller-retour         Aux couchers et levers aliénés de l’astre radiant           Et voilà l’obscurité infra-rougie couveuse de gouttelettes         De rosée découvertes sur la lisse feuille de tabanani*         L'aube fluide glacée glissante comme l'huile-boomer         Tombant sur l’avide éponge aspirante-expirante d’haleines         Et, c’est le jour après la nuit.         Abdoulaye Bilal Traoré

De partout

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Cet infini du reflet de soi Susurrant au chercheur d’identité La bouche bée à la saveur hybridité Et son du même sans fin d’un point Sentiers du Nœud de la tribu dispersée en sept sens. L’-oei l-voit-et-ne-voit a vu la vile densité de sans savoir Dénigreuse d’intrus du même infini d’un même point commun. Quoi faire de sa moitié-moitié sa multiple collision de semences   Qui coulent dans les veines quant à sa propre chair on demande Qui cherche en soi la terre d’asile fouineuse de la dignité d’autrui Perdue dans la lueur de l’espérance vraie du point levé bien LA-VÉ. Abdoulaye Bilal Traoré.

Resurgissement

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        Resurgissement ((À Riker) Tout semble déboussolé Déboussolé de vision Déboussolé de sens Déboussolé est mon voisin ma glace aussi Le Fou de joie-amertumé par folle vitesse D’excès diaboliques de nirvana tant rêvé Tous avec le tic de presque tac que du bluff Supposé sujet du fabriquant industriel Marin dans des eaux troubles de trop Tirant vers le récif refuge de l’ouverture  Où la Poésie fut langue première la brise Du déjà vécu N'eussent été les Chuchotements du poète réfugié Néfertiti et après la Joconde rajeuniraient Et se souriraient dans le blanc de l'oeil se regarderaient!         Abdoulaye Bilal Traoré   (Esprit divagant)                                                               Oeuvre: Riker

Bàkk

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         Bàkk* Je prie le jour la nuit le moment et l’instant la croyance dans le fond pur l’affaire du cœur en son fin-fond. Je prie, oh désir éternel! Mon battement le tien je prie à l’adhérence ce bruit   d’aisance personnelle. En soi ouvert est le respect envers-devers. Je prie la paix de l'esprit du ça vaut la peine. Abdoulaye Bilal Traoré

"Pulpo a feira" octopus

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Il était une fois, chez moi une pieuvre qui tomba entre mes mains pour apaiser ma faim de l'instant. Je la cuisinai dans une marmite bouillante, sous le feu ardent. Condimentée a la sénégalaise, je pensai comme si c’était de la chair de poule blanche-neige venant de la mer et ses tentacules. "Mor Laam" gardant le calme devant son os, mordant sa salive de pressé ne vit que du feu puisque le temps passant la pieuvre se transforma en béton armé pour qui croyait que toutes les chairs, se marinent de la même manière. La déception de ne pouvoir se rassasier fut majuscule. Passe le temps jusqu’au jour de la croisée des chemins l’aventure me cloisonna sous les montagnes de la Galice lieu magique où le ciel parle vrai avec la lumière verte la terre de Camba, Cunqueiro, Castelao, Sargadelos, Neira Vilas Méndez   Ferrín, Torrente Ballester,  de Camilo Cela "la ruche" … La Galice, terre de falaises atlantiques d’où la brise vit naître à Rosalía de Castr

L’Orteil entre les dents

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L’aurore fraîche que chante la rosée   aux gouttelettes tombantes goutte à goutte sur terre.   Sentier de sable fin granulé dans le sombre dégraissant éventail blanchissant qu’entonne l’aube en sifflements son alerteur de disjonctions et aux grillons l’accent de la cadence. Sur la dalle de l’univers laboureuses les termites en file indienne puis s’amincit l’humidité dans l’air quand le soleil levant fait coucou au même moment que le fort de béton du nouveau tour construit la nuit sur le faîte de vers les cieux vont les couveuses de cafards et d’égouts   qui au firmament de la pleine lune  vocifèrent que le vol est réel dans le rêve comme l’étouffant parfum d’une coque d’œuf d’avant et juste après éclosion.        Abdoulaye Bilal Traoré

Hamada Du Draa (Nid d’eau, nid de peuples)

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              O fleuve, de l’amitié            liane de la vie            bon  filon de merveilles, d’émeraudes            battements d’amour et de compagnonnage            dans lesquels baigne ma gratitude!            Merci. Abdoulaye Bilal Traoré                                          Photo de la peña"Hamadadudraa"

Le trou

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La lumière sur le silence de l‘obscurité pour que toutes les couleurs irradient en mouvement groupé face à la pression de l’intensité valsante. L’éventail déplié s’offre à l’œil dans le déclanchement ouvert en arc-en-ciel d’où ce faisceau passant devant le nez que l’œil ne voit que sont les ondes en fréquences modulatrices constantes. Abdoulaye Bilal Traoré

Hybridités

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À la fois rien-être-tout-être son âme dans l’autre Comme qui dirait  Je m'identifie. Bonheur servi sur le plat Accepter de cajoler le vis-à-vis En faire sien, le diluir en soi et son propre moi s'épanouissant. Abdoulaye Bilal Traoré

Attrait

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Le plaisir indescriptible De l'histoire d’un instant Parei l  à la mangue mûre Au toucher à son poulpe  de velours amour tressaillant   d’envie face à l'autre encencé Sans appel à l’appel et jaillit Le désir à chevauchée Puis les  soupirs du tout et rien Du tout   tout-au-tour sauf un point Oui, un Point: Désir et plaisir du vouloir.    Abdou l aye Bi l a l  Traoré  

Il était une fois l’aventure (à mon ami Pépé)

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          Être une personne être-humain             Se voir loin et prendre le chemin             Vers le sud   il menait et a plongé             Dans un bain de sable et de sel gem             D’eau douce et de mer de ces autres océans             En surface ou dans le fond du sous le pied.                          Il se laissa doucher dans un bain de foule             Jamais vu aussi nombreux dans le Sahara soliloquant             Pour distinguer les nuances dans les leurres qui font             Un seul en définitif. Ces êtres semblant ne pas se connaître             Qui se vitupérent dans un dialogue de fous sans merci             Sans répit sans fin pour le faux être-dessus, à tout prix.   Abdou l aye Bi l a l Traoré