L’Orteil entre les dents
L’aurore
fraîche que chante la rosée
aux gouttelettes
tombantes goutte à goutte sur terre.
Sentier de sable fin granulé dans le sombre dégraissant
éventail blanchissant qu’entonne l’aube en sifflements
son alerteur de disjonctions et aux grillons l’accent de la cadence.
Sur la dalle de l’univers laboureuses les termites en file indienne
puis s’amincit l’humidité dans l’air quand le soleil levant fait coucou
au même moment que le fort de béton du nouveau tour construit la nuit
sur le faîte de vers les cieux vont les couveuses de cafards et d’égouts
qui au firmament de la pleine lune vocifèrent que le vol est réel dans le rêve
Sentier de sable fin granulé dans le sombre dégraissant
éventail blanchissant qu’entonne l’aube en sifflements
son alerteur de disjonctions et aux grillons l’accent de la cadence.
Sur la dalle de l’univers laboureuses les termites en file indienne
puis s’amincit l’humidité dans l’air quand le soleil levant fait coucou
au même moment que le fort de béton du nouveau tour construit la nuit
sur le faîte de vers les cieux vont les couveuses de cafards et d’égouts
qui au firmament de la pleine lune vocifèrent que le vol est réel dans le rêve
comme l’étouffant
parfum d’une coque d’œuf d’avant et juste après éclosion.
Abdoulaye
Bilal Traoré
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