Le son constant


            

Existe-t-il vraiment le silence!
Tes yeux ton ouïe
Le corps mouvant petit et maigre
Grossit  par agrandissement et passe
Le temps entre ingégnerie de crâne et sens
la chair palpitante
de s’écouter sans répit
Alerte puisque tout est tonalité
Silence, il ne se  souvient plus
Du son des ondes
Du flair l'ouïe les yeux
Tes yeux ton ouïe ton flair
Que du obscure dans ce ciel chancelant
Quand arriva la paix nuageuse
En flamboyant rouge agité
Et de suite, omniprésent  le mutisme
Autour du sommeil consommé.

L’autre s’en rend compte.                       

Abdoulaye Bilal Traoré

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

ÉMOTIVE

ÉMOTIF

ÉMOI